Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Profil

  • Tankya du raï
  • Tankya du raï, c'est tous les samedis soirs sur radio béton 93.6fm. www.radiobeton.com pour écouter en direct où que vous soyez!!
  • Tankya du raï, c'est tous les samedis soirs sur radio béton 93.6fm. www.radiobeton.com pour écouter en direct où que vous soyez!!

Ecoutez radio béton en direct

Pour Ecouter l'Emission en direct clique sur le lien ci-dessous:

www.radiobeton.radio.fr 

Rechercher

Le livre du moment

Kamel-Daoud.jpg

Pressenti pour le prix Goncourt 2014, l'auteur algérien Kamel Daoud n'a finalement pas obtenu la récompense. Par un jeu de miroirs habile, "Meursault, contre-enquête", son premier roman, éclaire d'un jour nouveau "L'étranger" d'Albert Camus. Kamel Daoud, né à Mostaganem, est journaliste au quotidien d'Oran.

Culotté. Audacieux. S'attaquer à un monstre de la littérature française du XXe siècle, Albert Camus, n’est pas une chose aisée. Dans son premier roman "Meursault, contre-enquête", paru aux éditions Actes Sud en mai 2014, Kamel Daoud revisite "L'étranger" pour donner "sa propre vision du salut et du sens", 

Cuisine maghrébine du moment

IMGP1255
Berkoukes ou Aïch
 plat traditionnel algérien

Le Berkoukes est l'un des nombreux plats de pâtes ( mais qui as dit que les pâtes étaient réservés aux Italiens ?! ) qui fait la richesse des mets delicieux de la cuisine algérienne.

C'est un plat d'hiver, généreux, réconfortant, absolument excellent préparé à base de pâtes " petits plombs " que l'on trouve aisément dans les épiceries orientales ou turques mais si vous en avez la chance ou si vous savez le préparer, ces petites pâtes peuvent également se rouler à la main, de pleins de bons légumes de saison, d'un peu de viande et le tout aggrémenté d'épices qui releveront le plat. On peut également les préparer de façon végétarienne, sans viande,
Ce plat vaut vraiment la peine d'etre découvert car il est convivial et pas compliqué à préparer. Bien entendu, il y a une multitude de recettes différentes, un choix de légumes qui varie suivant les recettes, des épices en plus ou en moins mais le principal est de trouver le Berkoukes a son gout, de le préparer comme on l'aime, plus ou moins liquide, plus ou moins relevé suivant les appréciations de chacun.

A déguster bien entendu quand il fait bien froid dehors, tout chaud, arrosé d'un filet d'une excellente huile d'olive avec une bonne Kesra ( pain galette typiquement algérien ) faite maison ...

20 novembre 2009 5 20 /11 /novembre /2009 09:44



Nous irons au pays «Arc en ciel»  et de Mandela parce que ce dernier a fait ses armes chez nous et qu’il fallait que nous soyons ses invités.

La réponse n’a pas tardé à venir. Les Fennecs ont répondu aux Pharaons qui n’ont pas pu se dépêtrer de leurs langes de momies, gardées au chaud pour sauvegarder leur histoire. Mais l’histoire finit toujours par rattraper les intrus. Oum Ed-Dounia, ce pays si tant adulé par les naïfs que nous sommes, nous avait donné rendez-vous chez lui pour un traquenard.
Un rendez-vous avait été pris sur terrain neutre, au Soudan, plus grand pays du continent, à équidistance des deux pays.
Tétanisés au Caire, le duel sur terrain neutre a désigné le vainqueur, cette Algérie cœur et âme avec ses Verts. Le passage au pays frère n’est plus qu’un cauchemar qu’on ferait vite d’oublier sauf s’il y a mort d’homme.
Sur le terrain, les Verts, c’est-à-dire ces Algériens qui étaient aussi bien sur le terrain que dans les gradins, dont le nombre a été limité par cette institution qui s’appelle la Fifa, ont démontré que tout se joue à arme égale, même si ailleurs on auvait souhaité que l’Égypte passe le cap, pour ses soutiens inavouables, d’une politique dépassée.
Le sport restant le sport, l’Algérie a montré sa suprématie dans le domaine du football malgré les intimidations de nos hôtes, longtemps et depuis  longtemps qualifiés de “frères”.
Nous irons au pays “Arc-en-ciel” et de Mandela parce que ce dernier a fait ses armes chez nous et qu’il fallait que nous soyons ses invités.
Chose faite car à adversaire venu en ennemi, il fallait répondre par la suprématie. Les jeunes du lucide Saâdane ont répondu en mouillant leur maillot et avant eux et avec eux ces milliers de jeunes qui ont fait le voyage à Khartoum, avec en poche quelques dinars et la qualification plein le cœur.
L’Algérie entière, du Sud au Nord, de l’Est à l’Ouest, n’a vibré que pour ce passage au pays de Mandela qui aurait été triste que son pays d’accueil ne soit pas présent à la grande fête de cette Coupe du monde.
Nous y sommes. Merci aux onze gladiateurs qui ont été sur le terrain et bravo à ceux qui ont sillonné les rues d’Alger et de Khartoum, capitale de ce pays qui entre dans le cœur des Algériens.

O. A.

Partager cet article
Repost0

commentaires